Cognitive and emotional responses to suicide portrayals in movies: Evaluation and extension of the modeling hypothesis

Auteurs

L Pouliot, Brian Mishara.

Résumé

textbfContexte: Au cours des trente dernières années, il s’est produit une augmentation constante dans les représentations explicites de comportements suicidaires dans les films de fictions, et durant cette période des préoccupations ont été relevées que de telles représentations pouvaient favoriser le modelage de comportements suicidaires chez les spectateurs. textbfObjectifs : Tester expérimentalement les principes importants de l’hypothèse de la modélisation , l’explication la plus courante de l’association entre des présentations médiatiques et l’augmentation des taux de suicides , appelé « l’effet Werther ». textbfMéthodes: Utilisation du design Latin Square, deux études indépendantes ont été faites. En étude 1,51 participants étaient exposés à six extraits de films dépeignant un suicide complété par un protagoniste homme ou femme. La méthode du suicide était constante tout au long alors que l’évènement déclencheur variait. En étude 2,58 participants étaient exposés à quatre extraits de films dépeignant un suicide complété par un protagoniste homme ou femme. La méthode du suicide était variée tout au long alors que l’évènement déclencheur était constant. Le souvenir des extraits, la stimulation émotionnelle et l’identification au protagoniste suicidaire étaient évalués dans les deux études, ainsi qu’une séries de facteurs de vulnérabilité psychologique qui ont été suggérés pour l’association à « L’effet Werther.» textbfRésultats: L’étude 1 indique que la similitude de genre, laquelle qui était précédemment considérée comme étant l’une des composantes requise pour que l’imitation se produise, n’influençait pas le souvenir, la stimulation émotionnelle, et l’identification. Globalement, les femmes s’identifiaient plus fortement aux protagonistes. Le refoulement prédisait significativement le souvenir de l’extrait et l’intensivité de la stimulation émotionnelle. L’étude 2 indiquait que la similitude du genre influençait l’identification au protagoniste suicidaire, mais pas la pensée et la stimulation émotionnelle. Au contraire de l’étude 1, il n’y avait pas d’effet significatif sur le genre du participants dans l’identification. Il y avait des indications que le refoulement pouvait influencer l’étendu du souvenir des représentations graphiques du suicide et que les tendances dissociatrices pouvaient prédirent un dégrée de stimulation émotionnelle. textbfConclusions : Nos résultats ne soutiennent pas l’hypothèse de l’imitation si souvent évoqué et suggère que d’autres processus psychologiques peuvent sous-tendent « l’Effet Werther ». L’identification ne peut pas facilement être expliquée seulement par la similitude du genre face au modèle des présentations du suicide dans les films. La nature des évènement déclencheurs et la méthode utilisée par le protagoniste peut jouer un rôle important dans « l’Effet Werther». GENRE HOMME FEMME JEUNE-ADULTE WERTHER-EFFECT IMITATION MÉDIA CINÉMA FICTION MOYEN

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