Barriers to positive outcomes in treating patients at risk of suicide in Aotearoa/New Zealand: perspectives from ‘positively inclined’ clinicians

Auteurs

Tess Soulié, William M M Levack, Elliot M Bell.

Résumé

In light of Government endeavours to transform New Zealand’s (NZ) mental health system and services, this short communication reports on secondary qualitative data on barriers to positive outcomes in treatment of patients at risk for suicide (PRS) from the unique multi-disciplinary perspective of 12 positively inclined clinicians. According to grounded theory, interview data were collected and analysed iteratively until we reached data saturation. We present these data in two categories, distal barriers, that is those emanating from the context of practice, and proximal barriers, that is those emanating from clinicians themselves. Overall, the 12 clinicians interviewed converged in describing experiencing the NZ mental health system as interfering rather than supporting their clinical endeavours with PRS, and NZ clinical training as partially failing to prepare them for clinical suicidology. Despite limitations due to the secondary nature of these data, this short communication provides insights into the subjective experience of positively inclined clinicians, a unique professional group, in relation to a health challenge of national importance, and invites consideration that positively inclined clinicians might represent a valuable source of information in relation to improving suicidal patients’ care in NZ. Le gouvernement de la Nouvelle-Zélande (NZ) met actuellement en place des actions pour transformer les services et le système de santé mentale au pays. Dans ce contexte, cette courte communication rapporte des données qualitatives secondaires sur les obstacles aux conséquences positives des traitements pour les patients à risque de suicide (PRS) à partir de la perspective unique et multidisciplinaire de 12 cliniciens ayant une attitude positive. Suivant une approche de théorisation ancrée, les données d’entrevues ont été recueillies et analysées dans un processus itératif jusqu’à atteindre la saturation des données. Cet article présente deux types de données : les obstacles distaux, c’est-à-dire ceux qui émanent du contexte de pratique, et les obstacles proximaux, soit ceux qui émanent des cliniciens eux-mêmes. Au total, les 12 cliniciens interviewés ont une perspective convergente dans leur expérience du système de santé mentale en NZ comme interférant plutôt que soutenant leurs actions cliniques avec les PRS, et dans leur description de la formation clinique comme ne les préparant pas tout à fait adéquatement à la suicidologie clinique. Malgré les limites de l’étude en raison de la nature secondaire des données, cette courte communication met en relation les expériences subjectives de cliniciens ayant une attitude positive, qui constituent un groupe professionnel unique, avec le défi actuel en matière de santé au niveau national. Elle invite enfin à prendre en considération ces expériences des cliniciens engagés de manière positive, qui peuvent représenter une source d’information importante pour améliorer les soins aux patients suicidaires en NZ. NOUVELLE-ZÉLANDE OCÉANIE SUICIDAIRE-CHRONIQUE PROFESSIONNEL-SANTÉ-MENTALE SONDAGE THÉRAPIE PSYCHOTHÉRAPIE ALLIANCE-THÉRAPEUTIQUE ATTITUDE EMPATHIE ÉTUDE-QUALITATIVE QUALITÉ-SOIN


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